Vademecum

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Vous avez vu le film SNOWDEN d’Oliver Stone et vous avez décidé de vous soustraire à la surveillance numérique comme cela est suggéré dans le Vademecum du 7 janvier 2016.

Voici quelques liens utiles :

Film Les nouveaux loups du Web, produit par Jupiter Films :
http://www.jupiter-films.com/film-les-nouveaux-loups-du-web-47.php

Conférence sur CD audio La surveillance par les portables, peut-on y échapper ?
http://www.santepublique-editions.fr/conference-audio-la-surveillance-par-les-portables-peut-on-y-echapper-par-Annie-Lobe.html

Créer une adresse mail :
http://www.riseup.net/fr
(Compter 24 h à 48 h pour la création de votre boîte mail)

Navigateur Firefox :
http://www.mozilla.com
Avant de commencer la navigation, cliquer en haut à droite sur les trois bandes horizontales, puis sur Fenêtre de navigation privée. Aucun historique de navigation ne sera enregistré. Si vous avez oublié d’utiliser cette fenêtre privée, pour supprimer l’historique et les cookies à la fin de chaque session, cliquer en haut à droite sur les trois bandes horizontales, puis sur Historique, puis sur Effacer l'historique et sélectionner « Tous ».

Moteur de recherche Qwant :
http://www.qwant.com

L’informatisation des réseaux électriques rend la France vulnérable au piratage, à l’espionnage et au cyberterrorisme pouvant provoquer le black-out.

Vulnérabiliser les réseaux de distribution électrique en remplaçant les compteurs actuels par cet équipement informatique fragile qu’est le compteur Linky est donc la dernière chose à faire dans le contexte actuel d’instabilité des équilibres géopolitiques, d’émergence de nouvelles formes cybernétiques de guerres entre Etats, et de menaces terroristes dont nul n’ignore désormais l’ampleur et la gravité.

ENEDIS se prévaut de la garantie de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information. Mais Guillaume Poupard, le directeur de cette agence chargée de la sécurité informatique des 200 entreprises stratégiques françaises, botte en touche dans sa réponse du 15 novembre 2016.

Interrogé sur le risque de black-out, coupure généralisée et prolongée d’électricité, engendré par les modifications des réseaux pour les rendre « communicants » ou « intelligents », mais aussi vulnérables, il répond qu’il « ne relève pas de ses missions de décider de l’opportunité de mettre en œuvre de tels dispositifs ».

http://www.santepublique-editions.fr/objects/reponse-poupard-15-novembre-2016.pdf

Bien au contraire, le décret n° 2009-834 qui régit son activité le prévoit :

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000020828212

Sa mission consiste à assurer « la fonction d’autorité nationale de défense des systèmes d’information. En cette qualité, elle propose au Premier ministre des mesures destinées à répondre aux crises affectant ou menaçant la sécurité des systèmes d’information des autorités publiques et des opérateurs d’importance vitale (…) ».

Personne ne peut nier qu’ENEDIS est un opérateur d’importance vitale.

Selon la directrice de la communication du Linky, Anne-Marie Goussard, nous n’avons pas eu de black-out généralisé en France depuis 1979. Mais actuellement, on est en train de tout changer, y compris les boucles qui constituent le maillage mis en place depuis 30 ans pour que ce black-out soit impossible. Cette coupure d'électricité généralisée, rendue possible par l'actuelle transformation des réseaux électriques, est mentionnée dans le film SNOWDEN, du réalisateur Oliver Stone comme étant un objectif, et non un risque !

Le dossier de presse du film SNOWDEN d’Oliver Stone, sorti le 1er novembre 2016, nous apprend que le script a été corrigé par Edward Snowden, le jeune américain ex employé de la CIA et de la NSA qui a révélé en 2013 la surveillance généralisée dont nous faisons tous l'objet :

http://www.santepublique-editions.fr/objects/snowden-oliver-stone-dossier-presse.pdf

Les faits relatés dans ce film ne sont ni de la fiction ni de la science fiction. Il s’agit des révélations d’un insider, un lanceur d’alerte de l’intérieur.

Il est révélé dans ce film que les Américains « intègrent des éléments dormants dans les réseaux électriques pour pouvoir éteindre le pays au cas où il cesserait d’être un allié. »

Le black-out n’est donc pas considéré comme un risque, mais comme un objectif, y compris à l’encontre de leurs alliés, dont la France fait partie.

Les réseaux « intelligents » et les compteurs Linky présentent toutes les caractéristiques de tels éléments. Actuellement, même les infrastructures subissent des transformations au niveau des boucles qui constituent le maillage mis en place depuis 30 ans pour rendre ce black-out impossible !

L’ex-ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian prenait lui-même au sérieux la « cyberguerre » : selon le Canard enchaîné du 21 décembre 2016, p. 3, il a créé à effet du 1er janvier 2017 « un Commandement des opérations militaires pour la cyberguerre. En clair, la défense et l’attaque face aux intrusions hostiles dans les réseaux informatiques. (…) À en croire Le Drian, qui l’a confié à l’un de ses conseillers, ″le combat numérique est un nouveau champ de bataille qui doit nous amener à repenser profondément l’Art de la guerre.″

La création de cette nouvelle entité ne répond toujours pas à la question, posée dès le 30 août 2016 et qui n’a pas reçu de réponse :

« Les réseaux intelligents Linky sont-ils la ligne Maginot des futures cyberguerres ? »

Mails à la presse (5 500 journalistes en poste dans les médias français) :

http://www.santepublique-editions.fr/objects/Linky-et-le-black-out-prolonge-pas-de-reponse-du-directeur-ANSSI-mail-d-annie-lobe-a-la-presse-01-octobre-2016.pdf

En raison de la défection du directeur de l’ANSSI face aux menaces qui ont été portées à sa connaissance au moyen d’un dossier complet qui lui a été remis par voie d’huissier :

http://www.santepublique-editions.fr/cahiers-doleances-contre-linky-gazpar-et-compteurs-d-eau.html

Il peut être déduit que chaque citoyen, chaque élu local, chaque responsable d’entreprise est en droit d’agir au niveau de responsabilité qui est le sien pour palier à cette défection.

Enfin, les sociétés japonaises Itron et Landys + Gyr (filiale suisse de Toshiba), fabricants du Linky, ne sont aucunement soumises au respect des lois françaises en la matière. Le premier actionnaire industriel d’ATOS, la société franco-allemande qui a gagné le marché de l’interface logicielle du système Linky, est l’allemand Siemens. Cela pose un sérieux problème de sécurité des données, dans le cadre de l’espionnage entre grandes puissances, susceptible de porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.

Lettre de signification du 14 octobre 2016

Article "Vivre sans électricité" 5 décembre 2012

Signification à Monsieur Philippe MONLOUBOU Président du Conseil d'administration de la SA ENEDIS

Signification à Monsieur Guillaume POUPARD Directeur de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI)

 

La surveillance par les téléphones portables : peut-on y échapper ?

La surveillance par les téléphones portables :
Peut-on y échapper ?

78 millions de téléphones portables en France et 6 milliards dans le monde : autant de mouchards électroniques émettant leur position en permanence. Combien sont officiellement écoutés chaque année ? Peut-on écouter ou localiser votre téléphone portable même lorsqu’il est éteint ? Lire vos SMS à distance ? Qui a accès à ces fonctionnalités soigneusement cachées aux utilisateurs ? Quelles sont les possibles conséquences de la surveillance électronique, pour les entreprises dans le domaine du secret industriel et pour les États dans le Renseignement ? L’affaire Snowden, révélée en 2013 par le journaliste Glenn Greenwald et la documentariste Laura Poitras grâce aux documents confidentiels rendus publics par le jeune américain Edward Snowden, a confirmé l’étendue insoupçonnée de la surveillance exercée par les USA sur l’ensemble des pays et des citoyens du monde entier. Mais la presse française, qui a soulevé un coin du voile, est loin d’avoir tout révélé. En écoutant cette conférence audio, qui est encore plus d’actualité depuis que les téléphones portables sont devenus des « smartphones » géolocalisables, vous saurez à quel point, en matière de surveillance électronique, la réalité dépasse la fiction…


Téléphone portable : comment se protéger

Les téléphones portables, le wi-fi, les téléphones d’intérieur sans fil DECT, les baby phones émettent non stop des micro-ondes pulsées qui traversent la peau et les murs à la vitesse de la lumière, et ont pour cibles le système reproducteur (stérilité) et le système nerveux central (insomnie, maux de tête, troubles de l’attention, de l’apprentissage et de la mémoire...). Grâce à ce livre qui présente des conseils basés sur la mesure des ondes émises par les appareils sans fil, vous saurez comment vous protéger vraiment sans vous laisser abuser par les pseudo conseils circulant sur Internet et dans la presse, sous perfusion publicitaire des opérateurs de téléphonie mobile, ou de vendeurs de patchs totalement inefficaces.
Durée de lecture : environ 2h30.

Accès gratuit en ligne à l’intégralité du livre


« Téléphonie mobile »

“Si les gens savaient ne serait-ce que 10 % de la vérité sur les téléphones portables, ils préfèreraient s’en passer.” — Olle Johansson, Institut Karolinska, Suède.

Pour celles et ceux qui n’ont pas accès à Internet ou savent qu’il vaut mieux éviter de rester devant un ordinateur ont été réunis les articles, interviews, éditos, communiqués et documents en ligne sur ce site.
Ce dossier très complet inclut notamment les rubriques “Téléphone portable : ce qu’il faut savoir” et “Antennes-relais : elles nous rendent malades”, les interviews du professeur Pierre Aubineau, la plaidoirie d’Annie Lobé contre SFR et la liste des troubles constatés à proximité des antennes-relais de téléphonie mobile, et fournit 93 références de sources consultées pour sa rédaction.
Inclut les textes :
  “Se reposer vraiment quand on ne part pas en vacances”
  “Lettre à un hôpital à propos de l’effet protecteur de la mélatonine contre la leucémie”.



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