Qui est Annie Lobé ? |
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ContactPrésentation Journaliste d’investigation scientifique indépendante, elle a réalisé des dizaines d’heures d’interviews de chercheurs scientifiques en France et dans le monde, recueilli des centaines de témoignages, lu des milliers d’études scientifiques dont elle a croisé les résultats, qu’elle a complétés par la mesure des champs électromagnétiques et l’observation in situ de la vie et des relations en famille. Ses articles ont été publiés dans Sciences et Avenir, Notre Temps, Questions de femmes, Alternative santé, Le Figaro, Que Choisir, Le Chasseur français, Le Journal des maires, Nature & Progrès… Sur ses sujets d’investigation : téléphonie mobile, électricité, ampoules basse consommation, nucléaire, colorants, nouveau compteur électrique Linky, surveillance massive et omniprésence des écrans, Annie Lobé révèle des informations qui dérangent les lobbies et ne sont pas relayées par les médias qui vivent de leurs budgets publicitaires. Quant à la majorité de la presse “bio”, elle préfère d’accepter la publicité de vendeurs de “bidules” de pseudo-protection totalement inefficaces. Annie Lobé a publié 4 livres, 2 conférences-audio et 7 dossiers chez SantéPublique éditions, la maison d’édition qu’elle a fondée en 2006, qui révèlent des informations exclusives que vous ne trouverez pas ailleurs et proposent des conseils de protection vraiment efficaces et qui vous éviteront l’achat de gadgets coûteux et inutiles. En France, l’ampleur de la mobilisation contre le Linky, avec plus de 920 communes qui ont voté une délibération contre Linky, et 1 000 collectifs Stop Linky qui se sont constitués, est la preuve que lorsque les informations issues des investigations d’Annie Lobé sont diffusées et utilisées par les citoyens eux-mêmes, les lobbies sont mis à mal. Quelques heures de lecture suffisent pour disposer de solutions pratiques à mettre en œuvre au niveau individuel, basées sur la mesure des champs électromagnétiques pour contrer les effets nocifs des écrans (tablettes, ordinateurs), des téléphones portables, des ampoules basse consommation, de l’électricité et des antennes-relais, et basées sur des éléments juridiques solidement étayés pour le Linky.
Trois questions à Annie Lobé (25 octobre 2017, mis à jour le 12 août 2019) : Quand on «google-ise » votre nom, des propos peu flatteurs apparaissent en bonne position. Ces attaques contre vous bénéficient d’une très bonne exposition sur le net... Pourquoi ne faites-vous pas de droit de réponse ? Rien n’est plus facile que de fabriquer du doute pour discréditer une information sérieuse susceptible de détourner les consommateurs d’un produit dangereux. À vous d’utiliser votre discernement. Les attaques à mon encontre ont commencé en 2009 pour diffuser via Internet de virulentes critiques de ma vidéo sur les ampoules basse consommation. Au final, mes alertes se sont avérées justifiées puisque ces ampoules au mercure ont été interdites par la Convention de Minamata, signée le 19 janvier 2013 par 140 États dont la France, qui prendra effet en 2020. Les quelques confrères de la presse qui, en 2009 et en 2010, y étaient allés de leurs sarcasmes ont, depuis 2013, omis de prévenir leurs lecteurs et de corriger leurs articles à ce sujet. Mais si vous avez encore des ampoules basse consommation chez vous ou sur votre lieu de travail, je vous conseille de les enlever sans délai. Depuis début 2018, elles sont discrètement retirées de la vente... [Lire le droit de réponse d’Annie Lobé publié par Rue89] [Lire le droit de réponse d’Annie Lobé publié par L’Express] [Lire le droit de réponse d’Annie Lobé publié par 60 millions de consommateurs] [Lire le droit de réponse d’Annie Lobé au Canard enchaîné] Aujourd’hui, ma nouvelle alerte porte sur les ampoules à LED dont la lumière bleue provoque la DMLA, une maladie incurable qui rend aveugle, et sur les ampoules basse consommation halogènes, qui contiennent un gaz dérivé du fluor, toxique pour les voix respiratoires. Je vous invite à signer et faire signer la nouvelle pétition pour demander au Premier ministre le retour des ampoules à incandescence car ce sont les seules qui ne sont pas toxiques, ni au moment de leur fabrication, ni pendant leur utilisation, ni lorsqu'elles sont devenues un déchet. Sur le Linky mon droit de réponse à Médiapart sur l’article d’un anonyme qui utilise le pseudo “Green Aymerick” avait été mis en ligne sur le site de Médiapart. Mais, alors qu’il aurait dû être publié sur la même page sous l’intitulé “droit de réponse”, il avait été placé en “commentaire” sur une page distincte, ce qui a eu pour conséquence qu’un internaute pressé ne le voyait pas. Par la suite, cet article - et mon droit de réponse - ont été supprimés du site de Médiapart. Si vous lisez mes publications, vous vous apercevrez que toutes les alertes que j’ai lancées ont fini par être reconnues officiellement. Les radiofréquences et les micro-ondes de la téléphonie mobile, à propos desquelles j’ai publié dans la presse dès 2002-2003, ont été classées “potentiellement cancérigènes” en 2011 par le CIRC, qui dépend de l’OMS. Les ampoules basse consommation, que je dénonçais une vidéo en 2009, sont discrètement retirées de la vente depuis début 2018 après avoir fait l’objet d’une convention internationale en 2013 qui les interdit à compter de 2020. L’Autorité de sûreté nucléaire (cf. mon enquête de 2011-2012) critique, désormais, ouvertement la gestion par EDF de ses centrales nucléaires. En juin 2018, l’OMS a classé l’addiction aux jeux vidéos sur la liste de classification internationale des maladies, à propos desquels j’ai écrit à tous les parlementaires en 2013. Même le maire de Montreuil qui refusait, depuis un an et demi, de protéger les 100 000 habitants de sa ville contre le Linky, a fini par prendre le 24 mai 2018 un arrêté instaurant un moratoire sur le déploiement, dix jours après qu’une femme et un enfant ont failli périr à cause d’une explosion de Linky, le 14 mai. La maison est complètement détruite, il ne reste rien à l’intérieur. Mes premières alertes de décembre 2015 sur les incendies et les explosions de compteurs “intelligents” de type Linky ont été confirmées en décembre 2016. La mobilisation des Montreuillois contre Linky a été très importante, mais le maire n’a fini par réagir que lorsqu’un événement grave s’est produit. Plus le temps passera, plus ce type d’accident augmentera. La presse fait désormais état de plusieurs dizaines d’incendies dû au Linky, mais il y en a beaucoup plus. Combien de maires auront des victimes dans leurs villes avant la fin de leur mandat, pour n’avoir pas pris en compte les demandes de protection de leurs concitoyens ? Le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) a rendu public en janvier 2017 un rapport explosif confirmant que les radiofréquences du Linky sont mesurables nuit et jour dans les circuits électriques dès avant la pose du compteur Linky dans un logement, dès lors que les concentrateurs sont installés et activés dans les postes de transformation du quartier. La dernière page de ce rapport affirme que dans un logement équipé de Linky, son signal est mesurable à 1,50 m d’un ordinateur portable en fonctionnement. Aucun autre appareil électro-domestique n’induit une telle augmentation du niveau d’électropollution dans les foyers ! Et le Conseil d’État, s’il a refusé d’interdire le Linky, a tout de même considéré en décembre 2017 que les avis et rapports de l’ANSES, l’agence de santé qui prétend que le Linky ne serait pas dangereux tout en affirmant qu’aucune étude n’a été faite à ces fréquences, n’ont pas vocation « à influer de manière significative sur les comportements des personnes auxquelles ils s’adressent ». En d’autres termes, ces avis et rapports ne servent à rien ! Ceux qui les brandissaient n’ont plus désormais aucun prétexte auquel se raccrocher. Cette agence est donc inutile, selon le Conseil d’État... Mes multiples alertes étaient fondées puisqu’elles ont été officiellement confirmées, avec le temps. Aujourd’hui je lance de nouvelles mises en garde basées sur la détection des ondes émises par les tablettes, smartphones, ordinateurs portables et fours à micro-ondes en publiant plusieurs nouvelles vidéos dont une alerte sur le fait que le téléphone portable sur le cœur donne l’infarctus. Plus le temps passe, plus l’addiction aux écrans augmente, moins la population est vigilante sur les effets des ondes. Elles sont imperceptibles, mais les niveaux auxquels nous sommes exposés sont sans commune mesure avec le niveau ambiant naturel à la surface de la Terre... L’École de guerre économique (EGE), qui se targue de liens avec le ministère de la Défense, insinue que vous seriez largement financée par une fondation, que vous seriez liée au mouvement anthroposophique ainsi qu’à un mouvement d’extrême droite, et que votre spécialité serait de surfer sur les peurs pour faire de l’argent... Pour une entité qui se prétend liée à la communauté de l’Intelligence économique, ils sont vraiment très mal renseignés. Si vous regardez attentivement les CV des “permanents” de l’EGE, ce sont principalement des communicants qui se sont auto-octroyés les diplômes de leur propre école. Les institutions dont le logo figure sur le site de cette officine présidée par un certain Harbulot feraient bien de le faire supprimer, car cela ternit leur respectabilité. Marc Filterman, un ancien militaire, n’a pas été étonné d’avoir été oublié dans le panorama des opposants aux Linky de l’EGE, car il avait déjà dénoncé que ce Harbulot a été financé par EDF. Jean-Louis Gueydon de Dives, le président de la Fondation pour une Terre humaine, a effectivement accordé une subvention de 5 000 euros à SantéPublique éditions en 2008 pour offrir mes livres aux bibliothèques des collèges et lycées, mais c’est tout. Et il a bien financé plusieurs associations qui luttent contre les antennes-relais, mais c’était avant qu’elles se lancent dans le combat contre Linky. Prétendre que je serais liée au mouvement anthroposophique parce que j’ai publié à plus d’un an d’intervalle deux articles dans une revue, Alternative santé, qui a également par ailleurs publié un article sur ce mouvement, est carrément ubuesque. Je n’ai aucun lien avec ce mouvement. Pas plus que je n’ai été en contact avec les deux personnes auditionnées, Aude Danielli et Thoma Lamb, dont je n’avais jamais entendu parler. Si ces deux-là ont étudié la contestation contre le Linky, ils sont restés bien loin de leur sujet. En ce qui concerne l’extrême droite, il suffit de lire ce que j’écris à son sujet pour savoir que j’y suis farouchement opposée (Le nazisme en perruque blonde ; M. Hollande, nous ne vous disons pas “merci” ni “au revoir”). Le plus affligeant dans la pseudo étude de l’EGE, c’est qu’elle est clairement passée à côté de son sujet. Équiper la France de ces compteurs “espions” la rendra “transparente” pour tous ses adversaires, de façon totalement asymétrique, puisque ni la Chine, ni la Russie, ni Israël, ni le Japon, ni aucune des autres grandes puissances du Renseignement n’en sont dotés. Le niveau de précision des données personnelles transmises par le système Linky, auxquelles la NSA américaine (National Security Agency) et tous les autres services de renseignement auront accès si le déploiement du Linky n’est pas stoppé, est préoccupant. Le président de la filiale à 100 % d’EDF, ENEDIS, qui assure le déploiement du Linky, Monsieur Philippe Monloubou, compte assurément sur le fait qu’il ne sera plus aux affaires quand les gros dommages surviendront, lorsque les grandes entreprises subiront des pannes informatiques et d’électricité, le déploiement ayant été habilement programmé après 2021 pour les plus gros compteurs (120 kVA). Dans les sociétés humaines primitives, la nuit, un guetteur veillait pour réveiller les autres membres de la tribu en cas de danger. Aujourd’hui, la nature des dangers a changé. De tangibles et immédiats, les dangers sont devenus abstraits, sournois et lointains. Rien ne se voit de prime abord, il faut les décrypter. Cette fonction d’alerte est assurée par des professionnels, dont je fais partie, qui, après investigations, décrivent les nouveaux dangers avec des mots. Je n’ai jamais prétendu être “expert”, je fais mon travail de journaliste d’investigation scientifique indépendante. Vous noterez que le site d’information de SantéPublique éditions est totalement exempt de publicité, ce qui n’est pas le cas des sites des médias. Contrairement à l’EGE, je ne suis financée par personne. Sur le Linky, le kit n’est pas payant, tous les modèles de lettres et toutes les informations sont en ligne en accès libre. Ceux qui n’ont pas d’imprimante peuvent commander un kit papier moyennant 10 euros, soit le prix des photocopies. Concernant l’argent, les insinuations de Harbulot et son équipe sont en réalité une autocritique : ils projettent leur propre vénalité. Avec plus de 2 000 pages d’informations en ligne (sans compter la présentation de nos publications) et des liens vers plus de 3 000 documents PDF, SantéPublique éditions est bien plus généreuse que l’EGE (une année dans cette “école” complotiste coûte 9 200 euros par an). Des milliers de personnes utilisent nos modèles de lettres sur le Linky sans verser un centime à SantéPublique éditions. Je suis la seule journaliste à qui le reproche est fait de vendre ses publications... Mais quand vous voulez connaître les résultats des enquêtes du Canard Enchaîné, vous achetez le journal ! Après avoir dépensé tout un plan-épargne logement pour financer mes investigations depuis 2001, je fais partie des millions de Français qui vivent au-dessous du seuil de pauvreté, et ce depuis 9 ans. Je ne dis pas cela pour me plaindre, c’est le prix à payer pour la liberté et l’indépendance. Mais c’est vraiment un comble que des collabos qui vivent confortablement de l’argent des lobbies se permettent de fabriquer des rumeurs comme celle-ci. Et ça marche ! “Calomniez, Calomniez, il en restera toujours quelque chose”... C’est la devise de l’EGE, semble-t-il. Je conclus que la copie de l’EGE sur le Linky, truffée de contre-vérités et de fautes d’orthographes, vaut un zéro pointé et le renvoi de son auteur, qui professe à l’EGE. Et concernant le blog Tous Montreuil, avez-vous envoyé un droit de réponse qui n’aurait pas été publié ? Ce blog diffamatoire qui utilise le nom de l’ancien journal municipal est tenu par un énergumène frapadingue, qualifié comme tel par des miliants issus de son propre parti politique, dont il avait annoncé publiquement le 3 novembre 2016, au cours d’une réunion publique contre Linky qui s’est tenue à la Bourse du travail de Montreuil, qu’il serait le candidat pour les élections législatives, ce qui n’a bien sûr pas été le cas. Lors de cette réunion, il avait refusé d’éteindre son smartphone malgré la demande expresse qui lui avait été faite en raison de la présence de personnes électrosensibles, et il s’était permis de tweeter en direct, sans avertir quiconque, les propos tenus pendant la réunion, en les déformant. Ensuite, après son deuxième post, il est venu me trouver plusieurs fois sur le marché de Montreuil au stand du Collectif Stop Linky et m’a volontairement donné sa date de naissance et son adresse pour que je le fasse citer à comparaître devant le tribunal correctionnel pour diffamation. J’ai décidé que mon temps serait mieux employé qu’à une bataille stérile contre lui.
Naturopathe, elle est certifiée depuis 2005 par le Centre Européen de Naturopathie Appliquée (CENA) fondé par Robert Masson. Elle propose des consultations d’une durée d’une heure trente. Les personnes qui viennent la consulter apprécient sa qualité d’écoute et l’efficacité de ses prescriptions. Pédagogue autant que thérapeute, elle a réuni dans son ouvrage Le Conseil de la Naturo ses recommandations assorties d’explications simples et claires sur les mécanismes biologiques et physiologiques sur lesquels elles sont fondées. Elle sait nous donner envie de passer à l’action et de faire enfin ce que nous savons être bon pour nous.
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