Les ampoules basse consommation

Progrès ou désastre ?

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Les ampoules basse consommation fluocompactes cumulent quatre inconvénients majeurs : elles contiennent du mercure, très toxique, que l’on retrouvera un jour en mer, et elles émettent à la fois des UV, des radiofréquences et des basses fréquences, ce qui en fait le produit le plus polluant à avoir été commercialisé à des centaines de millions d’unités sur l’ensemble de la planète. Champs magnétiques émis par les ampoules basse consommation
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Lire des extraits du dossier de 44 pages : Ampoules basse consommation : progrès ou désastre ?

 

Signez la pétition
pour le retour
des ampoules
à incandescence

Imprimez, signez et faite signez la pétition pour le retour des ampoules à incandescence (document PDF)
EXCLUSIF !

• Ampoules basse consommation fluocompactes :
interdites en 2020 !

• Convention de Minamata : 140 États s’engagent à interdire
   les produits au mercure, dont les lampes basse
   consommation, à l’horizon 2020.

Les ampoules à LED provoquent la DMLA, qui rend aveugle

Les ampoules basse consommation halogènes contiennent
   un gaz dérivé du fluor, toxique pour les voies respiratoires

Linky double la facture d’éclairage pour les LBC

Des terres rares dans les LBC et les ampoules LED

Les rejets de mercure augmentent

Autisme et mercure : Prévenir, puisqu’on ne peut guérir

 Comparez la consommation de vos ampoules basse
   consommation fluocompactes avec celles à incandescence :

   l’arnaque économique

 

Ampoules basse consommation : mesure des champs magnétiques

image video ampoule basse consommation
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Format mp4
pour visualisation sur smartphone
Voir les références du clip :
Mesures salon Marjolaine
Environnement Magazine octobre-novembre 2003
Monographie OMS

Information initiale du Criirem signée par le professeur Pierre Le Ruz :
Alerte ! Mise en garde sur les ampoules à économie d’énergie ! Communiqué du 21 août 2007


Cahier technique 205

Article Guadeloupe 2001
Alternative Santé janvier 2009

 

Écouter Par quoi remplacer les ampoules basse consommation fluocompactes ?
Écouter la réponse d’Annie Lobé concernant les ampoules LED et les ampoules halogènes basse consommation
Le 25 mars 2011 mis à jour le 15 avril 2011 (10 min)

 

Écouter Interview d’Annie Lobé par un journaliste de l’Express.fr, Eric Lecluyse
Le 26 octobre 2009, mise en ligne le 25 décembre 2012 (1 h 17 min).
À propos de la polémique qui a suivi la diffusion massive en mai-juin 2009 de la vidéo sur les ampoules basse consommation. Aucune trace de cette interview dans les articles de ce journaliste... Devinez pourquoi ?

 

Exclusif ! Convention de Minamata : 140 États s’engagent à interdire les produits au mercure, dont les lampes basse consommation, à l’horizon 2020

Le 19 janvier 2013, le Programme des Nations Unies pour l’environnement (UNEP) a obtenu l’accord de plus de 140 États sur les dispositions d’un texte juridiquement contraignant sur le mercure, baptisé "Convention de Minamata" en hommage aux victimes des pollutions par le mercure de la Baie de Minamata au Japon au milieu du 20ème siècle.

La France est signataire de cette convention qui, selon un communiqué du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, “constitue une réelle avancée dans la gestion de cette substance dangereuse, tant pour la santé humaine que pour l’environnement”.

Ce texte prévoit l’interdiction, d’ici 2020, de la production, de l’exportation et de l’importation des produits contenant du mercure, au nombre desquels figurent les ampoules basse consommation fluocompactes et les piles.

En revanche, les vaccins et les amalgames dentaires au mercure (plombages) sont exclus de l’accord.

Concernant les centrales électriques au charbon, les pays ont accepté, pour réduire les émissions de mercure, “d’installer les meilleures technologies disponibles sur les nouvelles centrales électriques”.

Voir le communiqué de l’UNEP du 19 janvier 2013 sur la Convention de Minamata

Lire l’article du 2 juin 2014, mis à jour le 1er septembre 2014

 

Dossier Ampoules basse consommation : Progrès ou désastre ?
L’enquête d’Annie Lobé qui révèle l’ampleur de la désinformation orchestrée
par les promoteurs de ces ampoules

Ampoules basse consommation : progrès ou désastre ? Lire en ligne des articles du dossier

Lire le dossier complet de 44 pages au format papier

Interview d’Annie Lobé par un journaliste de l’Express.fr, Eric Lecluyse

Lumière toxique

Ampoules basse consommation : Lumière toxique

La vidéo sur les ampoules basse consommation a suscité tellement d’intérêt qu’elle a été “buzzée” sur Internet en mai et juin 2009. Révélations issues de la poursuite des investigations. Article mis à jour le 10 septembre 2009.

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Les perles de la presse

Ampoules basse consommation : Les perles de la presse

Les lampes basse consommation (LBC) présentent quatre inconvénients majeurs : elles contiennent du mercure et émettent à la fois des UV, des radiofréquences et des champs magnétiques. Personne ne peut plus le nier. Mais la presse, allez savoir pourquoi, s’est mise en quatre pour nous persuader de les utiliser quand même. Toutefois les journalistes, sans doute pas totalement convaincus, ont glissé dans leurs articles les perles que voici. Article mis à jour le 28 mars 2010.

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      Lire l’article complet

Lumière toxique (2ème partie)

Ampoules basse consommation : Lumière toxique (2ème partie)

La vidéo sur les lampes basse consommation démontre qu’elles émettent des champs magnétiques, ce qui n’est pas le cas des ampoules à incandescence. Cette vidéo a eu un tel impact que le lobby de l’électricité a tenté de la discréditer par la diffusion de faux arguments. Démonstration.
Article mis à jour le 24 mars 2010.


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Lumière toxique (3ème partie)

Ampoules basse consommation : Lumière toxique (3ème partie)

L’hypothèse formulée dans la vidéo sur les champs magnétiques émis par les ampoules basse consommation, selon laquelle le pic mondial de cancers de la prostate observé dans les Antilles françaises pourrait être lié à l’usage de ces lampes depuis près de vingt ans, a suscité des réactions. Explications. Article mis à jour le 25 mars 2010.

Lire un extrait de cet article       Lire l’article complet

Ampoules basse consommation interdites

Ampoules basse consommation interdites en 2020 !

La génération précédente a banni le plomb. Serons-nous celle qui bannit le mercure ? La décision en a été prise l’année dernière. Dans six ans, il sera interdit de produire et de commercialiser des ampoules basse consommation. Mais pourquoi attendre 2020 ? Article du 2 juin 2014.

Lire un extrait de cet article                   Lire l’article complet en ligne      
Lire l’article complet sur papier

 

Droit de réponse d’Annie Lobé publié par L’Express

Droit de réponse publié le 5 novembre 2009 dans L’Express n°3044 après la parution de l’article d’Éric Lecluyse “Dur, dur d’être écolo” dans L’Express n°3043 du 29 octobre 2009.


Audition du Professeur Belpomme du 7 novembre 2007

“La chlordécone n’est probablement pas à l’origine de l’augmentation d’incidence des cancers de la prostate aux Antilles françaises(...). Ainsi mon équipe est-elle aujourd’hui mobilisée pour la recherche d’autres causes, dans le cadre d’une collaboration internationale.” (p. 7)


Le rapport secret des ingénieurs de Supelec et du CSTB du 23 mai 2008

les ampoules basse consommation émettent un pic de radiofréquences à l’allumage

Les ampoules éteintes émettent des radiofréquences résiduelles :

“Lorsque la lampe est éteinte, les champs ambiants résiduels mesurés sont de 0,3 Volts par mètre.” (p. 5)

 

Pic de radiofréquences à l’allumage :

“Autour et à proximité immédiate de la lampe allumée, le niveau de champ électrique varie de 80 Volts par mètre à 380 Volts par mètre.” (p. 5)

L’avis de l’association Santé Environnement France (ASEF) qui regroupe 2 500 médecins

“Mais le véritable problème, pour les experts de l’ASEF, se situe au niveau des grandes surfaces dotées de bacs de récupération où le personnel n’a pas reçu une formation ad hoc, et n’est souvent même pas informé des procédures de récupération. Le client qui ramène son ampoule basse consommation en magasin se retrouve souvent livré à lui-même. Autre question soulevée par l’ASEF : le mercure des ampoules non recyclées s’accumulera immanquablement dans l’environnement. Et se retrouvera fatalement, à plus ou moins long terme, dans la chaîne alimentaire.”

Quelle santé, Janvier 2010, p. 26.

La capote pour ampoules basse consommation de l’électricien Claude Bossard

La palme des perles de la presse revient au gratuit Biocontact de novembre 2009, distribué dans les magasins bio, qui propose, parmi un fatras de publicités pour des bidules de protection, un étui en fils d’acier inoxydable tissés, censé arrêter une partie du rayonnement électromagnétique des LBC. Astucieusement tronquée en hauteur, la photo de cette “capote” masque un aspect essentiel : les cordons de l’étui doivent impérativement être raccordés au fil de terre… lequel est absent de la plupart des points d’éclairage. On n’ose imaginer ce qui pourrait se passer en cas d’installation électrique défectueuse. D’ailleurs, l’article ne précise pas si cet accessoire est homologué.

Biocontact, Décembre 2009, p. 62.

(Voir l’article
Ampoules basse conso : Les perles de la presse)

 

Des ondes électromagnétiques dans les ampoules basse consommation

Pratiques de santé n° 81, mardi 15 juillet 2008, p. 3.

Article original citant les références

 

Comparatif de la consommation des ampoules à incandescence et des ampoules basse consommation fluocompactes : l’arnaque économique

Moins de deux euros d’économie par ampoule et par an. C’est ce que peut espérer un petit consommateur qui remplace 7 ampoules à incandescence par des ampoules basse consommation. Par conséquent, le nombre d’années nécessaires pour amortir leur achat est supérieur à la durée de vie des ampoules. Cherchez l’erreur !
Voir notre exemple

Vous pouvez calculer vous-même la consommation de vos lampes grâce au tableau exclusif ci-dessous
http://www.santepublique-editions.fr/objects/comparatif-consommation-ampoules.xls

 

La lumière bleue des ampoules à LED provoque la DMLA, qui rend aveugle

La composante bleue de la lumière des LED est toxique pour la rétine : elle accroît le risque de développer une DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge), une pathologie très grave puisqu’elle est incurable et rend aveugle. La DMLA se traduit par une perte progressive de la vision centrale. C’est la première cause de cécité chez les seniors.

« La lumière bleue des ampoules à  LED et des écrans altère la rétine, avec les mêmes répercussions que la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), prévient le professeur Gilles Bernard, directeur scientifique de la Société française d’ophtalmologie (SFO). Les lunettes anti-lumière bleue proposées par les opticiens ont seulement une efficacité partielle puisqu’elles ne filtrent que 20 à 30 % de la lumière bleue. On ne peut pas retirer tout le bleu d’une image sans l’altérer. » (Mutualiste, avril 2018, p. 11 : Lumière bleue : quels dangers pour nos yeux ?)

Or, TOUTES les LED présentes sur le marché ont cette composante bleue : « Les LED sans lumière bleue, on sait les fabriquer, mais elles vaudraient tellement cher que personne ne voudrait les acheter. Elles ne sont tout simplement pas fabriquées ». Telle est l’affirmation faite à la journaliste scientifique indépendante Annie Lobé par un professionnel du secteur.

Conclusion : la lumière produite par les LED, comme la lumière bleue des écrans, provoque la DMLA qui rend aveugle...

De plus, les ampoules à LED émettent un champ magnétique de 50 hertz car elles sont munies d’un transformateur – une ampoule LED fonctionne en 12 Volts en courant continu et il faut un transformateur pour transformer ce courant continu en 220 Volts « alternatif ». A contrario, les ampoules à incandescence, dépourvues de transformateur, n’émettent pas de champ magnétique, elles émettent uniquement un champ électrique. (Plus d’info : La fée électricité).

Signez et faites signer la pétition pour le retour des ampoules à incandescence !

 

Les ampoules basse consommation halogènes sont toxiques pour les voies respiratoires

Extérieurement, les ampoules basse consommation halogènes ressemblent à des ampoules à incandescence : leur bulbe a la même forme, mais à l’intérieur, à la place du filament de tungstène, une capsule en verre contient un gaz dérivé du fluor. Ce gaz dérivé du fluor est enfermé dans la capsule, mais si vous cassez le bulbe extérieur, l’ampoule continue de fonctionner et si, quand elle est chaude, vous mettez le doigt sur cette capsule, elle explose et vous inhalez ce gaz, qui est toxique pour les voies respiratoires.

Et de toutes façons, au moment où cette ampoule basse consommation halogène devient un déchet, le gaz finit par en sortir, soit dans votre rue du fait de la compression dans la benne à ordure, soit dans un incinérateur, soit en décharge. Ce gaz toxique se répandra inévitablement, un jour ou l’autre, dans l’environnement.

Ces ampoules basse consommation halogènes sont donc également à proscrire.

Signez et faites signer la pétition pour le retour des ampoules à incandescence !

 

Linky double la facture d’éclairage pour les LBC

La moindre consommation des ampoules basse consommation fluocompactes, les LBC, provient pour partie de ce que leur Cosinus Phi est égal à 0,5. Cela signifie que les compteurs électriques actuels, qu mesurent l’énergie dite « active », ne comptabilisent que la moitié de leur consommation d’électricité. Le compteur Linky, en complète illégalité, ne mesure pas l’énergie « active » mais l’énergie « apparente », de sorte qu’il comptabilise l’intégralité de la consommation des appareils ayant un Cosinus Phi inférieur à 1. Si vous êtes équipé d’un compteur Linky, la consommation mesurée et donc facturée pour l’éclairage par vos LBC va doubler (X 2).

Signez et faites signer la pétition pour le retour des ampoules à incandescence !

 

Des terres rares dans les ampoules fluocompactes et les ampoules LED

Les “terres rares” sont des éléments obtenus en raffinant le minerai brut qui les contient au moyen de bains d’acide, de lessivages et de cuissons au four. Une grande quantité d’acide est nécessaire pour cette opération qui est extrêmement polluante pour les eaux souterraines. En Malaisie, à 30 km de Kuantan sur la côte est (500 000 habitants), la construction de l’usine australienne de production de terres rares Lynas se déroule sous la pression de ses opposants. Leurs craintes se cristallisent sur le thorium, un élément faiblement radioactif présent dans le minerai extrait du site australien de Mount Weld. Ils évoquent l’ancienne usine de traitement de terres rares de Bukit Merah, sur la côte ouest de la péninsule, où la radioactivité serait responsable de cas de leucémies et de malformations natales chez les riverains.
Ces terres rares anti écologiques (cérium, terbium, gadolinum) sont notamment utilisées pour la fabrication des ampoules basse consommation fluocompactes, des LED, et des aimants qui équipent les téléphones portables, les écrans tactiles, plasma et LCD.
Source : Libération, vendredi 20 mai 2011, p. 18.

Signez et faites signer la pétition pour le retour des ampoules à incandescence !

 

Les rejets de mercure augmentent

L’activité humaine a rejeté dans l’atmosphère un total de près de 385 000 tonnes de mercure. Un premier pic de 2600 tonnes par an a eu lieu entre 1860 et 1910, au moment de la ruée vers l’or aux États-Unis. Depuis l’année 2000 (où 2000 tonnes ont été rejetées), on assiste à une nouvelle augmentation des émissions de 2000 tonnes par an, soit quatre fois plus que les émissions naturelles dues au volcanisme ou à l’érosion. La pollution est planétaire : une fois dans l’atmosphère, les particules peuvent faire plusieurs fois le tour de la terre. En exminant les mesures effectuées à bord d’un avion de recherche, Seth Lyman et Daniel Jaffe, de l’université de Washington, ont découvert qu’à haute altitude le mercure se transforme en oxyde de mercure. Sous cette forme assimilable par les bactéries, il retombe très rapidement sur terre avec la pluie ou le brassage des vents. Une fois dans l’eau, le mercure est transformé par les bactéries en méthyl-mercure, une substance toxique facilement assimilable qui s’accumule dans la chaîne alimentaire et entrave le développement neurologique des enfants. Près de 50 millions de personnes seraient gravement contaminées par le mercure, selon une estimation avancée en 2007 par un groupe d’experts internationaux.
Un traité international visant à limiter les émissions de mercure est en cours de négociation sous l’égide de l’ONU, mais il n’a pas encore abouti.
Source : Le Figaro, mardi 20 décembre 2011, p. 15,
d’après Environmental Science and Technology, 15 décembre 2011.

 

Autisme et mercure : Prévenir, puisqu’il n’est pas possible de guérir

Quand il était Premier ministre, François Fillon a accepté de déclarer l’autisme “Grande cause nationale 2012”.
Vu le nombre d’études* établissant un lien entre l’exposition in utero ou post natale au mercure et le développement de cette maladie, qui survient généralement vers l’âge de deux ans, et dont les symptômes sont l’absence (ou l’anormalité) du language et l’isolement, pouvant être accompagnés de troubles gastro-intestinaux majeurs, il est temps que le public soit informé de la nécessité de se prémunir contre toute exposition à ce puissant toxique qu’est le mercure.
En effet, des cas d’autisme ont été documentés dans les deux conditions suivantes : travaux dentaires chez la femme enceinte (les amalgames dentaires, ou plombages, sont composés de mercure) et vaccination (vaccins contenant du thimerosal, un dérivé du mercure, ou vaccin ROR). De plus, l’exposition au mercure in utero est associée à une diminution du QI.
Le mercure présent dans l’organisme féminin est excrété dans le lait maternel. C’est donc l’ensemble des femmes en âge de procréer qu’il faut protéger contre toute exposition au mercure.
Monsieur François Fillon tient la santé de vos enfants dans la paume de sa main : il peut faire interdire dès à présent les ampoules basse consommation et ordonner leur rappel, réautoriser les ampoules à incandescence, interdire les amalgames dentaires au mercure, exiger de l’industrie pharmaceutique qu’elle modifie la composition des vaccins et modifier le calendrier vaccinal, comme au Japon où la vaccination ne commence qu’à partir de l’âge de deux ans.
* Marie-Christine Dépréaux, mère d’un enfant autiste, a présenté ces études dans un livre :
Autisme, une fatalité génétique ? Testez éditions, Marco Pietteur, avril 2007.

 

Envoyé spécial met en lumière deux raisons supplémentaires de ne pas produire d’ampoules basse consommation fluocompactes

Le reportage diffusé sur la chaîne publique France 2, dans l’émission Envoyé Spécial, le 28 avril 2011 montrait d’une part que les ouvriers qui les fabriquent en Chine sont malades à cause des méfaits du mercure et d’autre part que ces ampoules, lorsqu’elles sont collectées, ne sont pas recyclées mais seulement brisées et stockées à l’air libre, dans des sacs à même le sol, dans une usine en France.
Visionner Envoyé spécial, 1ère partie
Visionner Envoyé spécial, 2ème partie

 

Pétition pour le retour des ampoules à incandescence

Signez et faites signer la pétition pour la ré-autorisation des ampoules à incandescence de 40 et 60 watts, comme en Nouvelle Zélande, afin que la France ne contribue pas à un désastre écologique et sanitaire et préserve les générations futures contre les méfaits des LED, des ampoules basse consommation fluocompactes (LBC) et des ampoules basse consommation halogènes !

Pétition

Il est impensable que des produits aussi polluants et toxiques continuent d’être imposés à nos concitoyens, qui plus est avec l’estampille “écolo”. Les industriels de l’électricité devraient, sans délai, purement et simplement renoncer à les faire produire et arrêter de les commercialiser. Nous ne devrions pas être obligés de polluer la Terre et de rendre nos enfants aveugles pour nous éclairer.

Imprimez la pétition pour la signer et la faire signer. Puis envoyez-la directement à :
M. Jean Castex
Premier ministre
57, rue de Varenne
75007 Paris.

Pour nous permettre de comptabiliser les signatures, merci d’envoyer une copie de vos pétitions à
SantéPublique éditions, 2, Boulevard Vauban, 66210 Mont-Louis, ou par mail à :
info@santepublique-editions.fr

 

Pétition pour l’arrêt des ampoules basse consommation et le retour
des ampoules à incandescence
(cette pétition est remplacée par celle ci-dessus)

Signez et faites signer la pétition pour l’interdiction de l’importation et de la commercialisation des ampoules basse consommation et la ré-autorisation des ampoules à incandescence de 60 watts, comme en Nouvelle Zélande, afin que la France ne contribue pas à un désastre écologique et sanitaire et préserve les générations futures contre les méfaits du mercure !

Pétition

Il est impensable que des produits aussi toxiques continuent d’être imposés à nos concitoyens, qui plus est avec l’estampille “écolo”. Les industriels de l’électricité devraient, sans délai, purement et simplement renoncer à les faire produire et arrêter de les commercialiser. Nous ne devrions pas être obligés de nous empoisonner pour nous éclairer.

Imprimez la pétition pour la signer et la faire signer. Puis envoyez-la directement à :
M. Manuel Valls,
Premier ministre
57, rue de Varenne
75007 Paris.

Ailleurs, dans le monde :

Le problème causé par les lampes basse consommation fluocompactes est mondial. Deux journalistes canadiennes, Mary Garofalo et Allisson Vuchnish, ont mené l’enquête pour le magazine 16:9.
Reportages mis en ligne sur YouTube en janvier 2009.

Vidéo : Dirty Electricity - Part 1 - Rays of Rash
Vidéo : Dirty Electricity - Part 2 - Dirty Energy
Vidéo : Dirty Electricity - Part 3 - Reaction To Rays


Les ampoules basse consommation retirées du marché européen en 2015

Marie Grosman et Roger Lenglet, auteurs de Menace sur nos neurones, ont rencontré Christophe Bresson à la direction de Philips France, leader du marché des ampoules, à propos des ampoules basse consommation fluocompactes. Ce dernier leur a affirmé que “la réglementation européenne a fixé la date de 2015 pour les retirer du marché”.
“Selon les confidences de sources proches des producteurs, ce seraient les autorités politiques qui auraient demandé aux industriels d’opérer une transition douce en maintenant sur le marché une production d’ampoules fluocompactes pour ne pas provoquer de ‘crise’ et pour éviter qu’on découvre publiquement leur faute colossale”, écrivent Marie Grosman et Roger Lenglet, qui ajoutent : “Discrètement, devant l’intensification du débat public en Europe, les industriels ont décidé d’en sortir et prorammé une stratégie de conversion progressive vers une alternative moins problématique : les ampoules à LEDs (Diodes électro-luminescentes)”.
Source : Menace sur nos neurones, Actes Sud, septembre 2011, p. 128-131.

Commentaire d’Annie Lobé
: Si l’Union européenne décide de retirer ces lampes du marché c’est que leur dangerosité est reconnue. Je renouvelle donc le conseil de retirer immédiatement l’intégralité de ces lampes, sans attendre l’échéance de 2015 qui n’a aucune justification sur le plan sanitaire. Ne faites pas comme cette mère de famille qui témoigne : “J’avais retiré toutes mes LBC sauf celle de la salle de bains. Elle a explosé un soir, à 23 heures. Comme mes enfants étaient déjà endormis, je n’ai pas pu ventiler la pièce...”
Pour ce qui est des ampoules LED, de deux choses l’une : soit elles sont toxiques pour la rétine et l’on s’en rend compte car même un bref regard dans leur direction provoque une sensation de “mal aux yeux” et laisse une trace de couleur persistante quand on ferme les yeux, soit elles ne procurent pas une luminosité suffisante. Elles sont donc à proscrire également, et ce d’autant plus que leur fabrication nécessite l’utilisation de terres rares extrêmement polluantes (voir ci-dessous).
Les ampoules à incandescence restent les seules qui soient inoffensives pendant leur utilisation et non toxiques du stade de la fabrication à celui du déchet.
Quant aux campagnes publicitaires de Recylum incitant à rapporter les ampoules basse consommation en magasin, elles ont pour principale raison d’être de faire taire les journalistes qui savent que l’équilibre économique de leur journal est fondé sur les budgets publicitaires.

Vous trouverez des informations vitales pour vous protéger, ainsi que ceux que vous aimez, contre les effets sanitaires des champs électromagnétiques, des radiofréquences et des micro-ondes émis par les appareils électriques et par les appareils sans fil dans les publications suivantes :

Livre Téléphone portable : comment se protéger

Les téléphones portables, le wi-fi, les téléphones DECT, les baby phones émettent non stop des micro-ondes pulsées qui traversent la peau et les murs à la vitesse de la lumière, et ont pour cibles le système reproducteur (stérilité) et le système nerveux central (insomnie, maux de tête, troubles de la mémoire...). Grâce à ce livre qui présente des conseils basés sur la mesure des ondes émises par les appareils sans fil, vous saurez comment vous protéger vraiment sans vous laisser abuser par les pseudo conseils circulant sur Internet et dans la presse, sous perfusion publicitaire des opérateurs de téléphonie mobile ou de vendeurs de patchs totalement inefficaces. Durée de lecture : environ 2h30.

 

Livre La fée électricité : fée ou sorcière ?

Sans faire de travaux et même si vous êtes locataire, vous pourrez réduire et supprimer la pollution électrique chez vous  en suivant les conseils pratiques inédits de ce livre, qui conduisent aussi à réduire vos factures d’électricité. Vous découvrirez aussi ce que les industriels de l’électricité savent depuis 30 ans sur les effets nocifs des champs électromagnétiques : insomnie, dépression, cancer. Vous saurez enfin protéger votre mélatonine, une hormone naturellement produite dans le cerveau, qui induit le sommeil et nous protège contre le cancer, la radioactivité, la maladie d’Alzheimer, l’électrosensibilité...

Si vous avez déjà subi la pose du Linky, les précieux conseils de La fée électricité vous seront encore plus utiles pour protéger votre santé et celle de vos enfants.

 

La mélatonine et le sommeil

La mélatonine et le sommeil

Au 21ème siècle, beaucoup de gens croient qu’ils peuvent rester éveillés bien après la tombée de la nuit sans dégrader leur santé. Mais ce n’est pas vrai. Notre corps et notre cerveau sont des ateliers de réparation nocturne. Tels des voitures de Formule 1, toutes les nuits ils « passent au stand ». Pour cela, il faut dormir quand il fait nuit. Mais avec la multiplication des écrans (ordinateur, smartphone, tablette, télévision), de plus en plus de gens veillent de plus en plus tard. Et s’étonnent d’avoir des problèmes : troubles de l’attention et difficultés scolaires chez les enfants et adolescents, hypo- ou hyper- thyroïdie, fibrome, adénome de la prostate, cancer, maladies auto-immunes, maladies neuro-dégénératives, etc. En écoutant la conférence audio La mélatonine et le sommeil, vous connaîtrez et comprendrez les bases physiologiques du dicton populaire : « Les heures de sommeil avant minuit comptent double », et vous restaurerez le fonctionnement de votre atelier naturel de production de mélatonine.

 

Livre audio Les jeunes et le portable : Alzheimer à 35 ans ?

Ce livre audio s’adresse aux parents et grands-parents. Il présente des informations exclusives qui ne figurent pas sur Internet et n’ont pas été déjà publiées dans les médias ou dans d’autres livres. Il traite les thèmes qui vous préoccupent : les effets scientifiquement prouvés des portables sur le cerveau à l’âge de l’adolescence, la sécurité des enfants, la publicité à destination des enfants et des adolescents... Il donne des conseils pratiques pour protéger vos enfants de 0 à 25 ans. Il expose les découvertes les plus récentes sur le développement du cerveau à l’adolescence et explique comment se développent les addictions précoces. Il peut être écouté en famille et servir de base de discussion avec des enfants comme avec des ados. Il a déjà aidé des jeunes à décrocher du portable.

 

J'aide mes enfants à décrocher des écrans

J’aide mes enfants à décrocher des écrans

Depuis juin 2018, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé l’addiction aux jeux vidéos sur la liste de classification internationale des maladies, au même titre que les jeux d’argent. Et parce que la violence dont les jeunes cerveaux s’imprègnent par les écrans s’extériorise ensuite dans les établissements scolaires (harcèlement entre élèves, indiscipline à l’égard des adultes), tous les parents, quel que soit l’âge de leurs enfants (ado, jeune adulte, pré-scolaire et scolaire), ainsi que les enseignants et éducateurs, ont intérêt à utiliser ce livre qui propose des solutions pratiques :
Que proposer à la place des écrans
Que lire pour apprendre à aimer lire

Extrait vidéo du chapitre 6 : “Tablettes tactiles : mini écrans, maxi effets”

 

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